s y m p o s i u m ▪ RPG
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion

Partagez | 
 

 Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses...

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Jeremy G. Callaghan

    « THE INSURGENTS We won't let you do

Jeremy G. Callaghan

Messages : 36
Date d'inscription : 16/11/2010
Célébrité en avatar : Ian Somerhalder
Humeur : On ne réveille pas l'eau qui dort ( pas ).
Pouvoir : Pyrokinésie ou le contrôle des flammes. Influencées par l'humeur qu'elles influencent, elles peuvent devenir cataclysmiques ou s'étouffer comme si de rien était. Se brule bien entendu. Et ne créé pas le feu.
Occupation : Etudie la psychologie avec brio. Fout la merde avec encore plus de succès. Nargue les flics aussi, entre autre.

Infos supplémentaires
Âge du personnage: 24 ans
Relations:

Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... _
MessageSujet: Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses...   Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... EmptyMar 16 Nov - 17:06

Jeremy Garett Callaghan

feat. Ian Somerhalder
    Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... 656165_NAZPUVYS4WMU5CWKBB3VZFEPXSZTXV_-ian-somerhalder34239_H113923_S

    Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... Ian-121939_V96
    ©Crédit


      n o m & p r é n o m s ↔️ Cullaghan, Jeremy, Garett.

      â g e ↔️ Vingt-quatre ans

      n a t i o n a l i t é ↔️ Américaine

      o c c u p a t i o n ↔️ Scolarisé dans une Université où il étudie la psychologie.

      g r o u p e d ' a p p a r t e n a n c e ↔️ The Insurgents...

      p o u v o i r ↔️ La pyrokinésie ou le contrôle du feu... A première vue, Jeremy contrôle à la perfection ce ''don''. Cependant, en réalité ce n'est pas le cas puisque tout dépend de ses émotions. En colère les flammes seront puissantes et vives mais plus les secondes défileront, plus la virulences des flammes ne sera sous sa bride, calmé, le temps diminuera la puissance de son feu, tandis que l'enthousiasme créera des feux follets incontrôlable. De plus, outre la fatigue engendrée par la manipulation des flammes, l'utilisation de son don amplifiera son émotion principale d'alors allant jusqu'à éteindre le feu ou perdre le lien unissant maitre et entité contrôlée


« Your tale, sir, would cure deafness. »
20 lignes minimum



    Louder than sirens
    Louder than bells
    Sweeter than heavens
    And hotter than hell
    - Drumming Song -

    Plus tard, bien plus tard, quand tout fut calmé, on parla de scies, de marteaux-piqueurs ou autre. Trois choses ressortaient, et Jeremy était docteur avec ces points : un bruit inouï, une douleur absolue et une sensation de métal entrant dans le cortex, comme une trépanation. Il resta allité des heures durant, des jours et des jours, boule quiès dans les oreilles, téléphone jeté contre un mur et sonnette de son immeuble débranché avec toute la violence dont il était capable. Ses fenêtres avaient été calfeutré, il ne voulait plus rien entendre, jusque que ça passe. Juste que le silence revienne. Et même dans ses rêves il priait pour le silence, il cauchemardait, de simples cauchemars, des batteries des travaux. Du bruit. Encore et toujours...

    From nowhere to nothingness...

    Un silence. Ce silence. En réaction à cette absence, Jeremy fronça les sourcils, son regard devint noir, foudroyant. Lentement, calmement, il respirait mais la tonalité du téléphone indiquant qu’à l’autre bout du fil il n’y avait rien excitait son diaphragme et forçait son souffle à devenir rauque et brusque. Le combiné fut déposé violement, le heurt du plastique contre le plastique résonna dans le bureau comme un gong indiquant le début des hostilités. Sous sa main tremblante, le papier sur lequel était noté ce fameux numéro se transforma en boule froissée, boule qui fut envoyée vers la corbeille mais qui tomba à côté.
    L’échec, encore une fois, fit éructer le jeune homme qui poussa un juron digne de son vocabulaire. Se levant sur son fauteuil comme s’il venait de s’assoir sur une punaise, c'est-à-dire avec une précipitation hors norme, Jeremy se rua vers la poubelle à papier sur laquelle il se défoula en donnant un coup de pied, renversant ainsi son contenu sur le sol.

    - Comme s’il n’y avait pas déjà assez de bordel dans ma vie pour en rajouter dans ma chambre...

    A ses mots, l’étudiant sortie de sa poche un briquet et mit le feu, à sa manière, aux déchets en papier.


    A chemical reaction
    Hysterical and useless
    Hysterical and
    - Let Down -

    Comme c’était venu, cette chose s’en alla. Jeremy ne comprit pas, ne chercha pas à comprendre. Il accepta juste que, durant une éternité, une douleur s’était installée dans son crâne.
    Au début, il pensa qu’après cette absence, la découverte du monde se faisait une seconde fois, un autre regard sur ce qui lui avait échappé, ce qu’il pensait ne plus jamais revoir. De nouveaux yeux, plus performants, plus habiles. Une perspicacité plus grande, un sens de l’observation amplifié. Mais surtout, il devinait mieux les réactions des autres, sans être télépathe il comprenait la signification d’un haussement de sourcil, d’une déglutition place à ce moment précis, de ce gratouillage du cuir chevelu etc.
    Alors, il fut de moins en moins possible de le comprendre, lui, étant donné qu’il savait comment un masque se lézardait, comment des détails insignifiants pouvaient révéler des états d’âme théoriquement voilés aux yeux de tous.



    On s’attache souvent à la naissance, à cet acte douloureux, presque inhumain, de l’expulsion du nourrisson hors de ce corps, de ce passage si difficile et douloureux pour la mère, la fin de ce lien si privilégié et ce moment où le nom est donné. On si attache tellement que l’on ne se rend pas compte qu’en réalité ce sont les heures qui suivent les plus importantes.
    Rattrapée par le temps, la mère de ce jeune garçon ne savait quoi faire. Dans une maternité loin de sa ville originelle, elle savait qu’elle ne pourrait garder son fils. Elle voulait le voir grandir, évoluer et devenir l’homme qui sera sa descendance mais elle ne pouvait pas, elle n’avait pas le droit à ce bonheur. Cette fuite dura six mois, à cause de ce rêve, de cet espoir, six mois où chaque réveil se faisait cauchemardesque et chaque endormissement empli de peur. Elle fuyait cet homme, non pas le père, ou plutôt simple géniteur, non plus son proxénète, elle n’en avait pas, cela aurait été plus simple. Non, un multi milliardaire russe vivant dans ce pays aux multiples étoiles était le fruit de ses hantises, son supérieur qu’elle ne connaissait pas de visu mais dont elle connaissait les procédés. Adepte des fusillades et des assassinats, il n’aimait pas que l’on sorte du chemin qu’il imposait. De temps à autre d’ailleurs, il conviait dix de ses « employés » et en tuait un, une balle dans la tête.
    Un enfant était interdit. Lui et sa mère seraient morts, le père l’était déjà, traitre à son rang il avait raconté l’histoire à son frère, la découverte de sa paternité l’avait fait sortir de ses gonds à un tel point que, pour l’occasion, l’ainé avait assis sa suprématie dans cette mafia en évinçant son cadet d’une balle dans la tête.

    Ainsi, à peine l’enfant entouré d’une couverture légère, la mère s’en alla loin, très loin, dans ce désert d’Arizona dans l’objectif de se laisser déshydrater sous le soleil ardent. Mais...

    L’abandonné pas encore nommé se retrouva ainsi seul dans la maternité, ignorant les cris alarmés des infirmières trouvant le lit de sa génitrice vide. Il lui fallait d’urgence une famille d’accueil à moins de le faire naitre sous X. Alors, on contacta les demandes officieuses d’adoptions, celles qui passent au dessus de la paperasse habituelle, des années d’attente et qui fournissent plus d’argent qu’autre chose.
    Monsieur le juge, Madame la Docteur, félicitations !


    He got burned by the sun
    He's a lucky man
    His face so pale and his hands so worn
    - A Perfect Day Elise -

    Un jour, peu après en réalité. Bien avant qu’il saisisse les subtilités du visage humain, Jeremy découvrit autre chose. Un petit détail, un rien insignifiant. Calme, sur une table d’une cafétaria, une bougie essayait de tamiser l’atmosphère. Mais, un être insignifiant vint altérer cette atmosphère studieuse, le grand frère d’il ne sait plus qui, un ou une ex – coup d’un soir. D’abord il parla, puis il hurla, prétendant qu’il ne fallait pas larguer les gens ainsi etc. Et, finalement, en voyant que l’étudiant s’en foutait royalement, il en vint aux poings. En réponse, sa chevelure s’enflamma, ses habits devinrent cendres. La colère contenue de Jeremy fut déversé sur le miserable insect et peu à peu les flames vinrent lêcher les murs du petit café.
    Jeremy ne fut accusé, ce fut l’autre. Et si ses cours étaient désormais illisibles, il comprit qu’il possédait une certaine arme qu’il chercha à aiguiser, seul.




    [/i]
    To learn how to misbehave.


    Une mère psychologue devait se montrer compréhensive, accepter et tolérer tout les actes de son enfant, lui expliquer clairement en quoi tel ou tel acte est bien ou pas bien, en quoi cela heurte les autres ou au contraire fait plaisir. Un père juge quant à lui se devait d’être la neutralité absolue, rester de marbre et juger les paroles et les résultats de son enfant qu’en ayant une connaissance des faits totale.
    Son univers était l’équilibre, une balance sur laquelle il fallait tenir sur la pointe des pieds, bouger sans faire pencher un plateau vers une direction. Son monde était une balance en or massif où tout était millimétré et sous contrôle. Sa vie privée n’existait pas, ou que très peu. Sa mère se montrait omniprésente, désirant tout savoir sur Jeremy, sondant ses moindres gestes et anticipant, ou pas, ses pensées. Quant au paternel, il inspectait son répertoire, parlait tout le temps avec les parents de ses camarades de classe, de ses amis et de ses ennemis afin de tout savoir. L’adolescent qu’il était ne connaissait pas aussi bien sa vie que ses parents réunis.
    Quand il comprit ce fait, que ses parents portaient tout le temps ce long manteau beige de détective, il essaya, plus par instinct de survie que par esprit de rébellion, d’avoir un jardin secret. Des amis qu’il ne présenta jamais à ses parents, des excursions solitaires qui s’avéraient être des beuveries accompagnées de drogues mémorables. Rapidement, Jeremy mena deux vies.
    Il refusait clairement que ses parents sachent tout sur lui et soient tout le temps sur son dos. Bien qu’il les aimait, le mensonge et le masque arrivèrent très rapidement dans sa vie, honnête dans son mensonge et hypocrite dans sa vérité, l’élève plutôt doué qu’il était surfait vraiment sur les deux plateaux d’une balance, dansant sur l’un, se cachant dans le second.

    Cependant, les doubles vies de ce genre ne durent généralement que peu de temps. Si les présences et les rixes mineures se cachaient facilement à la vue de ses parents, un jour où Jeremy rentrait avec un œil au beurre noir – et un camarade envoyé à l’hôpital... -, il dût s’expliquer. Au final, cette mésaventure accentua le lien qui unissait l’enfant et les parents. Ces derniers devenus moins omniprésents se contentèrent de joueur le rôle pas si simple de parents et mirent de coté leurs métiers respectifs vis-à-vis de ce qu’ils considéraient comme étant leur progéniture. Quant à Jeremy, il continua sa double vie sans pour autant la voiler aux yeux de tous. A la fois le fils adoré de parents riches, mais dans une école privée comme la sienne, cela était commun, élève attentif sérieux et doué, intello ténébreux et alors rebelle dans l’âme, il évoluait sans trop se poser de question. Enfin, il savait où il en était, d’un point de vue psychologique, cependant, les points de vue moraux, éthiques et politiques semblaient l’enflammer. En effet, il ne comprenait pas les divers discrimination, les écarts entre riches et pauvres, certaines politiques locales ou nationales qui lui apparaissaient comme inverse à Robin des Bois et cette incompréhension viscérale mêlée à son tempérament explosif l’amena de plus en plus souvent à se servir des poings pour faire taire ceux qu’il n’aimait pas.
    Ou tout simplement ceux qui se faisaient aussi bon auditoire qu’un mur.

    Jeremy préférait la parole aux combats mais face à l’entêtement et à la haine d’autrui absurde de ses congénères, il ne pouvait s’empêcher d’exprimer ses sentiments physiquement. On lui expliqua souvent que la violence ne résolvait rien mais son expérience prouvait à chaque fois le contraire. Ses parents tentèrent d’endiguer ce qu’ils appelèrent « une incompréhension bouillant dans une cage » en l’inscrivant à des sports de combats divers et variés. Dans un premier temps, la fatigue physique répondait à l’attente de ses faux géniteurs, mais rapidement sa force décuplée et son savoir combatif lui servirent d’arguments politiques.
    Dans le petit monde qu’était son petit quartier et son lycée, il inspirait souvent la peur et impressionnait. De nombreuses personnes lui avouèrent une amitié sincère et profonde depuis des lustres juste pour être sous la protection du justicier, du grand garçon qui protégeait les faibles et accusaient les forts. Mais s’il était entouré, ses ennemis qui se faisaient nombreux l’étaient tout autant, voir plus. Un jour on l’agressa alors, seul contre une dizaine d’adolescents aux cerveaux emprisonnés par la testostérone, il fut conduit à l’hôpital où il y resta plusieurs jours.
    Comme un feu arrosé, Jeremy continua de crépiter et de consumer le bois, mais il devint plus calme et beaucoup plus sage. Cependant, plus que jamais il ne fallait le provoquer, pouvant transformer son calme en une colère noire, son inconstance devint son meilleur bouclier.


    I will take the sun in my mouth
    And leap into the ripe air
    Alive with closed eyes
    - Sun In My Mouth -

    La découverte de ce don donna des ailes au jeune homme, en quelque sorte. Après avoir atteint une certaine connaissance et maitrise de son pouvoir afin d’être en sécurité, il se transforma en prestidigitateur, montrant ses capacités à ses camarades de classe ou rigolant parfois. Il n’en était ni fier ni honteux, c’était ainsi, c’était mieux ainsi.
    Rapidement, on lui fit face, on le traita de monstre et de suppôt de Satan lui le pyromane. On le condamna verbalement, l’insulta. Fort heureusement pour lui, au bout de quelques jours il sut démentir à la perfection ses capacités, niant tout en masse et parfois même prétendit hair les Spéciaux. On se protège comme on peut...
    Rapidement il choisit son camp.



    I understand so I destroy !


    Sa scolarité continua ainsi, parsemée d’étoiles brillantes et de réprimandes écarlates. Si ses notes et l’acquisition d’une bourse sportive lui ouvraient toutes les portes, les petites tâches de sans ici et là sur ses carnets intimidaient certaines universités. Et puis, une bourse d’étude ne suffisait pas, alors Papa et Maman arrivèrent avec leurs gros portes-monnaies et, tout naturellement, payèrent les études de leur fils adoré. Cependant, le jeune homme ne savait quoi faire avec cet argent, les Beaux Arts lui auraient plu ou une école de lettres. A moins que l’apprentissage d’une langue étrangère afin d’entrer dans le monde du commerce soit son choix. Mais, au final, ne sachant absolument pas où aller, il fit honneur à l’argent offert en prenant le même chemin que sa mère, les études de psychologie. Enfin, on va dire qu’elle en parlait tellement aussi que pour la faire taire il prit ce chemin.
    Peu importe en réalité, ses études, ses choix, tout ça, on s’en fout vraiment.

    Ainsi en université, à New York, Jeremy tenta de rester calme, de ne pas se faire d’ennemis. Mais, avec son tempérament de feu, il lui était impossible de ne pas dire clairement ce qu’il pensait des autres. Sa franchise blessait ses camarades, les amis de ses amis ou simplement ses rencontres. Alors qu’il s’était juré de garder sa langue dans sa poche, il continua sur sa lancée et devint celui connu pour dire ce qu’il avait à dire, et ce quelle que soit la personne. Ses remarques acerbes, ainsi que son physique avantageux, se métamorphosèrent en marque de fabrique. Quand on parlait de lui, on discutait de ses engueulades très fréquentes, du fait qu’il ait fait pleurer untel ou unetelle. On pariait aussi sur lui, mais on le cachait, car on savait tous qu’à un moment où un autre ceux qu’il avait blessé se vengerait. On ne savait comment, on voulait juste être là et savoir.
    Pourtant, il n’y eut aucune vengeance. En effet, bien que certains le détestaient pour sa franchise, d’autres au contraire se mirent à l’apprécier et si les remarques acerbes qu’ils avaient encaissées les avaient rendu plus forts, ils se sentaient presque redevables.
    Une vie d’étudiant en somme, où les amis et les ennemis viennent et reviennent, où les ragots et les commérages sont monnaies courantes. Au moins, s’il était détesté, Jeremy le savait, c’était pour ce qu’il était et non pour ce que les autres croyaient qu’il était, et ça il en éprouvait une sorte de fierté. Pour lui, la construction d’une vie et des relations se faisait autour de la vérité, de la sincérité et de l’honnêteté, que ce soit avec ses parents, ses amis, ses amants et ses amantes et même ses ennemis. Mais surtout, en réponse à tant d’ouverture se soit même, il attendait une ouverture d’esprit basée sur la tolérance et l’acceptation de tout faits et de tout comportement. Et juste à présent, avec ses proches il trouvait ces traits d’esprits.

    Alors, imaginez son désarroi quand, après avoir souffert le martyr pendant des jours et des jours, il annonça à ses parents ce qu’il était devenu malgré lui et qu’ils s’enfuirent dans un déni sans fin. Ce jour là, quand Jeremy eut enfin le courage d’accepter ce qu’il était, un Spécial comme ils disaient si bien, il tomba des nus. Ses parents le firent sortir de chez lui, brulèrent avec leur propre feu les souvenirs de l’enfance du jeune homme, incendièrent son lit et ses vieux meubles. Son passé devint cendre et comme pour rajouter une larme de rubis sur ce gâteau brulé, il apprit ce jour là que Monsieur le Juge et Madame la Docteur n’avaient aucun gêne en commun avec le prétendu fils.
    En l’espace de quelques heures, on univers s’écroula. Il avait vécu dans le mensonge depuis tant d’années, il ne savait plus ce qui était vrai et ce qui était faux.

    Jeremy douta de ce qu’il était ; la franchise se montra acerbe et méchante, les insultes quant à son don qu’il n’avait alors jamais caché ne furent plus encaissées mais refoulées avec toute l’ardeur dont il était capable. Ce qu’il détestait, l’hypocrisie, devint son arme de prédilection. Ses amis se rapprochèrent, ses connaissances s’éloignèrent et ses ennemis sortirent de leurs cocons et se métamorphosèrent en cible à abattre.
    Pierre après pierre, Jeremy battit son nouveau monde muni d’armes et de protections alors que son ancien en était dépourvu. Dans un premier il s’isola, mais rapidement, en sachant qu’il n’était pas le seul avec ces pouvoirs, et pas le premier, il se rallia à ces congénères. L’humain est fait ainsi, préférant chercher ses semblables plutôt que les personnes totalement différentes, ainsi Jeremy se mit à préférer la compagnie de ces Spéciaux plutôt que ces Normaux. Ses études de psychologie l’aidèrent énormément alors, aidant ses nouveaux amis et les siens, les balayant des doutes et refaisant sourire.
    Alors, il décida de vouer sa vie avec ces nouveaux humains plutôt que les anciens, afin de les protéger et de les voir prospérer, et ce par tout les moyens. Aussi vite qu’il apprit l’existence des gens détestant les siens, il se mit à les hair et plus encore, à vouloir détruire ceux qui prenaient les armes.
    Son monde était tout nouveau, flambant neuf, un monde en guerre et oppressé. Un monde de solitude et d’entraide.

    Un jour, on l'aiguilla sur une rencontre. Il se mit en quête de cet être dont le nom n'avait été prononcé et le trouva rapidement. Presque au premier regard, une osmose naquit entre les deux hommes. Aujourd'hui encore, personne ne sait comment définir la relation, amour inavoué et fuit, amitié exacerbé ? Seul le mot osmose, justement, sonne juste et résonne dans les bouches des rumeurs.
    Cet homme alors, musicien, allait devenir dans un premier temps son mentor et son psychiatre. Ne plus chercher à douter et affuter son don. Tout deux étaient pyromenciens, cependant, alors que Jeremy maniait les flammes avec ses émotions, ce cher David devait utiliser sa flûte traversière, à moins que ce ne soit un simple sifflement ou le chant. Perséverant et têtu, Jeremy passa rapidement maitre dans l'art de jouer avec ses flammes, le connaissant au bout de quelques mois mieux que d'autres après des années.
    Une puissance lié au tempérament, un caractère énergique, une recette miracle...



    ... Those who have seen the needles eye, now tread
    Like a husk, from which all that was, now has fled
    And the masks, that the monsters wear
    To feed, upon their prey
    - Wandering Stars-

    Vivons heureux, vivons cachés.
    Dans la foule, dans le monde, porter le masque du quotidien, se servir de soit même, de son naturel comme protection.
    Et semer le vent, semer la tempête. Agir plutôt que d’espérer, frapper plutôt que de prier.
    Si vous ne m’aimez pas, ce n’est pas grave. Si vous ne m’acceptez pas, je ne vous accepte pas.




    Touch me and you’ll burn...


    Tel un hurlement viscéral, Jeremy montra qu’il existait. Il devait montrer aux autres qu’il était là, lui, né sous X et pyromane. Il ne savait pas comment procéder, il aurait aimé changer d’études et monter en politique, mais son sixième sens lui soufflait qu’à sa mort il n’y aurait pas de Spéciaux au sein du gouvernement. Alors il adopta la technique du cri enflammé, il brulait tout ce qu’il voyait, semait le trouble et l’insécurité, pour qu’ils sachent, pour qu’ils n’oublient pas, qu’il existait. Au début, ses crimes étaient anodins, des petits feux sans valeur, aucune perte matérielle ou humaine, mais peu à peu, plus l’organisation des Spéciaux s’amélioraient, plus il devenait dangereux.
    Mort ou vif on le voulait, mais toujours il s’échappait. N’oubliez pas son visage, Jeremy est intelligent futé et terriblement puissant...

    Partisan de la puissance, il ne comprit jamais la volonté des pacifites. Il l’acceptait et la tolérait, mais jamais il n’ira dans leurs sens. On les pourchassait et les violentait alors il ne servait à rien d’avancer comme des moutons. L’abattage consentant n’était pas son truc, vous l’aurez compris. Cependant, il saisit assez vite que au sein des siens, des partisans du trouble, plusieurs têtes mênaient différents troupeaux dans différentes direction. Alors il chercha à maintenir une sorte de cohésion, lui l’impulsif et le bouillonnant maintenait une sorte d’ordre et de calme. Du moins, il essayait...




« Our lives teach us who we are. »
20 lignes minimum

    Prenez un kaléidoscope entre vos doigts et plongez votre regard dedans. Observez bien le monde à travers ses multiples facettes, contemplez l’étendue des nouvelles visions que vous offre ce petit appareil. Vous comprenez mieux, maintenant, en quoi le monde est complexe ? Vous arrivez à saisir l’ampleur du labyrinthe des esprits, de tous ces changements possibles et imaginables ? Et encore, ce n’est rien, votre imagination, justement, vous bride et vous enfile vos propres œillères... Un être, quelque qu’il soit, simple ou complexe, malade ou sain, animal ou réfléchi, ne réagira jamais de la même façon. L’instinct et la conscience en sont les coupables. Et vous, pauvre abruti, vous voulez peindre le portrait mental d’un homme ?! Pauvre fou. Allez, enlevez moi toutes ces couleurs de votre palette, retirez le kaléidoscope. On va commencer avec un simple crayon gris et voir de quoi vous êtes capable...

    Non non non ! Pas comme ça, pas pour lui. Il faut être paradoxal avec ce sujet. Tracez les contours avec violence, sans retenue, vraiment sans aucune retenue. N’hésitez pas à déborder à flouter ou à rendre imprécis certains détails, ce ne sont que des détails. Non, en fait retenez-vous, maintenant. Un barrage, inscrivez un barrage de calme et de sérénité lézardé de toute part, oui c’est bien ça, de l’eau qui coule à travers ces failles et qui noie ces misérables insectes. Vous commencez à le cerner, c’est pas mal. Violence et retenue, mais il manque un petit quelque chose là. Comment vous expliquez, une notion de hasard ou ... comme de la poudre, il peut exploser à tout moment. Bien bien, des charges d’explosifs sur le mur, vous êtes doué très cher. Ça change des autres élèves.
    Bon, vous avez fait une belle silhouette de paradoxe, c’est beau. Quelqu’un de calme, presque doux et chaleureux, mais bouillonnant. Excellent, l’eau contenue par ce barrage en ébullition, mais cessez de prendre mes métaphores à la lettre, ça devient long là... Oh, magnifique, je suis impressionné là, les failles sur cette masse de bêton, c’est un sourire. Mais, il ne sourit pas pour cacher, ce Jeremy, quoi que. Oui de l’hypocrisie, c’est vrai, on sait jamais ce qu’il pense. Oh, parfait, un sourire de clown, mais sans le sadisme qu’offre généralement les films d’horreur. Il fait peur parfois, c’est vrai, ou est intimidant, surtout en colère. Ne jamais le voir en colère, c’est un conseil.

    Reprenez le kaléidoscope maintenant que vous ne savez plus quoi dessiner, mais restons-en au gris pour le moment. D’accord, mais c’est parce que c’est vous, au fusain. Vous voyez tout ce qui vous a échappé, beaucoup de choses. Et encore, avec le recul que j’ai et l’habitude d’utiliser ce petit objet, je verrai plus que vous, mais vous êtes là pour apprendre alors...
    Qu’est-ce que vous faites pauvre fou ? Les feux d’artifices pour la joie et l’enthousiasme plus tard, en couleur. Oui oui, plus tard on mettra des couleurs, mais pas tout de suite, patience jeune padawan. Tiens, la patience justement, vous élargissez le barrage, mouais, pas trop mal pour un débutant. J’aurai pas fait ça, quoi donc ? Plus tard je vous le dirai, peut-être. Et ne dites pas que je n’ai pas d’idée. Pff. Des nuages noirs, sa colère toujours sous-jacente, bien, très bien. Des éclairs même, oui pour ses piques vraiment apocalyptique. Une étendue désertique et sombre, pourquoi donc, il n’est pas seul ? Ah, quoi, avec un Soleil pour ses objectifs. Bien, rajoutez des mines parce qu’il sait que dans cette direction il peut y perdre la vie.

    Passons aux couleurs maintenant. Rajoutez du sang dans les nuages, comme s’il en pleuvait, mais pas une mousson, une bruine légère devrait suffire. Vous voyez pourquoi, oui, le combat, parfait. N’oubliez pas que c’est un excellent combattant à mains nues, c’est vrai que face à ces pathétiques soldats il ne peut pas faire grand-chose de ses poings, mais d’après vous pourquoi a-t-il un briquet tout le temps sur lui ? Héhé. Les feux d’artifices comme vous le vouliez tout à l’heure, c’est joli, ça égaye.
    Vous pensez avoir fini ? Mais, vous êtes con ma parole. Vous voyez pas là, en gros, son côté « J’analyse tout ce que je vois et j’observe tout alors je sais tout de vous. » ? Derrière le barrage l’œil, ou plutôt un télescope géant, ou une loupe, ou les deux. N’oubliez pas qu’il est très intelligent ce type, et futé aussi, et malin, et débrouillard. Un couteau suisse à côté ? Non, il n’est pas polyvalent, quoi que. Psychologue presque accompli, donc il a quelques connaissances en médecine, et puis combattant, catalyseur aussi. Non, plutôt lieur, il essaie de calmer les ardeurs de certains et d’unir ces Insurgés.
    Oh mon Dieu ! Vous avez oublié ce pourquoi il est connu : il est aussi franc qu’une brique dans ta gueule comme ils disent. Catapulte... briques... mouais... Bon, revenez-en à ce champ de mines qu’est le futur. Vous savez, il est entêté, une idée dans la tête et il sera presque impossible de le faire changer d’avis, sauf si vous argumentez à la perfection et Dieu seul sait ô combien ce Jeremy sait se défendre dans ses propos. Ben oui, comme il est réfléchi, il a quelques longueurs d’avance sur quelqu’un qui arrive et qui lui dit « Non en fait pas ça ! »

    Bon, résumons un peu. Jeremy est plutôt soupe au lait, enfin lunatique. Pouvant passer du calme olympien à la colère la plus intimidante qui existe en un simple tic d’une horloge. Il peut aussi être mélancolique, de temps à autre, tout dépend de l’heure qu’il est, du jour, de la position des planètes du système solaire et si une vague est en train de s’échouer à cet endroit précis ou si elle se retire. En gros, il est très difficile de l’anticiper. Aussi, bien que son intelligence était développée avant sa ‘’transformation’’, après il a surtout su à cacher ses émotions et apparait un peu comme distant. Vous avez raté ces points importants, oui il est sympathique et alors ? Un des premiers mots de mon cours était PARADOXE. Vous vous rappelez aussi de ce détails, direct et franc mais hypocrite...

    Pour terminer il manque une grande part dans votre tableau, les relations avec les autres. Vous voyez là, tous ces blancs... Et bien, une brume, pas mal. Une planche sur l’eau bouillante, pas mal aussi. Il n’a pas confiance aux autres et déteste le mensonge, cependant il est presque paranoïaque en se disant que chaque parole prononcée peut être un mensonge... Des grands coups de brosse ! Parfait, un truc déchiré et complètement sans queue ni tête, ça ressemble un peu plus à lui déjà. Un rire là, une étreinte ici, un baiser volé à un ou une inconnue par là, une dent roulant sur le bitume sous l’éclair qui tombe. Vous apprenez vite.
    Sur le champ de mines, un appareil photo et un chevalet ? L’art, mouais, c’est vrai que quand il a du temps il se promène dans les musées ou se gorge de culture dans une bibliothèque, à moins qu’il arpente la ville avec son argentique. Bien joué jeune homme. Vous êtes une femme ? Peu importe.

    Un cadre ? Pour quelqu’un d’aussi explosif et changeant, c’est impossible. Qui sait, demain il sera peut-être absolument pas le même...
    Ah, vous voulez parler de ce qu'il pense des autres ? Bouarf, les pacifistes, il ne les comprend pas. Ceux qui ne font rien et baisse la tête tranquillement encore moi. Les humains normaux, il s'en fout, à moins que ce soit ses patients, et ceux qui font preuve d'un tant soit peu d'esprit discriminatoire, il les déteste tout simplement. Vous voulez faire ça comment, avec quel bois ?
    Un cadre partiel, ouais, brulé par endroit, doré à d'autre, absent encore ici et là. Pas mal, pas mal du tout.




    n i v e a u d e R P ↔️ Je traine mes pieds sur les forums RP depuis maintenant plus d'un an mais j'écris depuis plus de quatre ans, je pense être assez à l'aise. Cependant, j'ai l'habitude d'un style où le contrôle des autres personnages est presque instinctif ( le faire assoir pour manger, le faire frapper un ennemi commun ou encore faire des ellipses temporelles où les deux personnages discutent de tout et de rien... ) et il m'est difficile de m'en défaire. Aussi, comme c'est une auto-évaluation et que je trouve mes chevilles bien fines, je dirai 7-8/10.

    p r é s e n c e ↔️ Actuellement, mon temps de connexion est de deux jours minimum par semaine, en décembre et après cela sera un peu plus conséquent.

    d e s i d é e s ? ↔️ En bas du forum j'ai vu " Optimisé pour Opéra ", j'ai sauté de joie. =p Sinon rien ne me choque pour l'instant. Wink

    c o d e d u r è g l e m e n t ↔️ OK par Matt.


      Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... 459647_71FHSHVWXUGA3XRXCMTNV8K14O1MO4_ian-somerhalder-1_H161915_S

      Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... 656165_NAZPUVYS4WMU5CWKBB3VZFEPXSZTXV_ian-somerhalder-ian-somerhalder-936_H113956_S
      ©Crédit


Dernière édition par Jeremy G. Callaghan le Jeu 18 Nov - 1:16, édité 7 fois
Revenir en haut Aller en bas
Matthew H. Northman

    « THE INSURGENTS We won't let you do

Matthew H. Northman

Messages : 93
Age : 32
Date d'inscription : 09/08/2010
Célébrité en avatar : Le magnifique et super sexy Alexander Skarsgard
Crédits : NYN
Humeur : Très mauvaise, comme la plus part du temps.
Pouvoir : Empathie :
_ Cryokinésie
Occupation : Je lutte activement contre le gouvernement en aidant le groupe des Insurgés comme je peux. Sinon, je fais quelques boulots ou je me dispute avec ma femme, c'est une occupation qui peut me prendre toute une soirée tellement elle est chiante (et encore, je reste poli...) mais je ne peux pas lui en vouloir, c'est une femme, elle est donc naturellement et par définition une chieuse.

Infos supplémentaires
Âge du personnage: 30 ans
Relations:

Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... _
MessageSujet: Re: Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses...   Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... EmptyMar 16 Nov - 17:39

Bienvenuuuuuuuue Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... 784205

Je valide ton code et te souhaite bonne chance pour la suite de ta fiche Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
Jeremy G. Callaghan

    « THE INSURGENTS We won't let you do

Jeremy G. Callaghan

Messages : 36
Date d'inscription : 16/11/2010
Célébrité en avatar : Ian Somerhalder
Humeur : On ne réveille pas l'eau qui dort ( pas ).
Pouvoir : Pyrokinésie ou le contrôle des flammes. Influencées par l'humeur qu'elles influencent, elles peuvent devenir cataclysmiques ou s'étouffer comme si de rien était. Se brule bien entendu. Et ne créé pas le feu.
Occupation : Etudie la psychologie avec brio. Fout la merde avec encore plus de succès. Nargue les flics aussi, entre autre.

Infos supplémentaires
Âge du personnage: 24 ans
Relations:

Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... _
MessageSujet: Re: Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses...   Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... EmptyMar 16 Nov - 18:29

Merci à toi. (:

L'histoire est terminée, j'espère pouvoir m'occuper de la description mentale plus tard dans la soirée, assez tard. J'espère aussi avoir bien cerné la personnalité de ce personnage dans ce début de fiche. (:
Revenir en haut Aller en bas
Aiyana Reevis

    « SPECIAL HUMANS ѻ We are transcendent

Aiyana Reevis

Messages : 77
Age : 34
Date d'inscription : 14/11/2010
Célébrité en avatar : Megan Fox
Crédits : @Datura
Humeur : Massacrante
Pouvoir : Pyrokinésie. Dit comme ça, ça peut en effet paraître flou et pourtant, il n'y a rien de plus clair que ce simple terme. Elle maîtrise le feu, le génère et joue avec. C'est sans doute la raison pour laquelle elle est si dangereuse, son pouvoir est directement lié à ses sentiments qui ne font qu'amplifier les choses. Mieux vaut ne pas traîner dans le coin lorsqu'elle est dans tous ses états, ça peut vite chauffer pour vos fesses.

Occupation : Elle collectionne les petits boulots ingrats, tout ce qui ne nécessite aucune connaissance préalable et qui ne demande pas de savoir lire et écrire, autant dire que les possibilités sont réduites, heureusement pour elle, elle est courageuse et est prête à tout pour subvenir à ses propres besoins.

Infos supplémentaires
Âge du personnage: 22 ans
Relations:

Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... _
MessageSujet: Re: Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses...   Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... EmptyMar 16 Nov - 21:25

Bienvenue parmi nous et bon courage pour la fin de ta fiche Wink
Revenir en haut Aller en bas
http://daturaparano.livejournal.com/
Jeremy G. Callaghan

    « THE INSURGENTS We won't let you do

Jeremy G. Callaghan

Messages : 36
Date d'inscription : 16/11/2010
Célébrité en avatar : Ian Somerhalder
Humeur : On ne réveille pas l'eau qui dort ( pas ).
Pouvoir : Pyrokinésie ou le contrôle des flammes. Influencées par l'humeur qu'elles influencent, elles peuvent devenir cataclysmiques ou s'étouffer comme si de rien était. Se brule bien entendu. Et ne créé pas le feu.
Occupation : Etudie la psychologie avec brio. Fout la merde avec encore plus de succès. Nargue les flics aussi, entre autre.

Infos supplémentaires
Âge du personnage: 24 ans
Relations:

Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... _
MessageSujet: Re: Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses...   Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... EmptyMar 16 Nov - 23:56

Merci soeur pyromane =D

Bref, fiche terminée, j'ai essayé de pas faire trop long et j'ai réussi ( parce qu'après je ne me relis pas et c'est vraiment une catastrophe ). Toute critique est acceptée bien entendu. Wink Et si modification il y a à faire, je ne les ferai pas, nah ! =p ( ou pas Smile )

By the way, au cas où vous auriez lu l'histoire avant l'ajout du caractère, j'ai fait un petit rajout d'un paragraphe avant le " If you touch me ..." sur le mentor de Je' (:
Revenir en haut Aller en bas
Gabriel R. Shephard


Gabriel R. Shephard

Messages : 84
Age : 32
Date d'inscription : 03/08/2010
Célébrité en avatar : Ryan Gosling
Crédits : Ness (avatar) ; Fanpop (icon) ; Linkin Park (lyrics)
Humeur : Cataclysmique
Pouvoir :
    Absorption et maîtrise de l'électricité. C'est assez large, et plutôt incertain. Je peux tout aussi bien supprimer l'énergie électrique dans un rayon d'action comme je peux renvoyer cette énergie sous forme de rayon destructeur.


Occupation :
    Pour faire simple, je suis officiellement logisticien humanitaire pour le compte d'une ONG. Très noble n'est-ce pas ? Plus officieusement, j'opère avec les Insurgés mais ma cause est juste, personne ne m'en voudra.



Infos supplémentaires
Âge du personnage: 29 ans
Relations:

Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... _
MessageSujet: Re: Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses...   Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... EmptyMer 17 Nov - 9:40

    Tout est parfait sauf un point important : dans ton histoire, il ne figure pas de passage concernant la découverte du pouvoir à proprement parler. Et c'est essentiel pour un personnage Spécial Wink Rajoute un court passage là dessus et je pourrai te valider Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... 897781
Revenir en haut Aller en bas
Jeremy G. Callaghan

    « THE INSURGENTS We won't let you do

Jeremy G. Callaghan

Messages : 36
Date d'inscription : 16/11/2010
Célébrité en avatar : Ian Somerhalder
Humeur : On ne réveille pas l'eau qui dort ( pas ).
Pouvoir : Pyrokinésie ou le contrôle des flammes. Influencées par l'humeur qu'elles influencent, elles peuvent devenir cataclysmiques ou s'étouffer comme si de rien était. Se brule bien entendu. Et ne créé pas le feu.
Occupation : Etudie la psychologie avec brio. Fout la merde avec encore plus de succès. Nargue les flics aussi, entre autre.

Infos supplémentaires
Âge du personnage: 24 ans
Relations:

Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... _
MessageSujet: Re: Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses...   Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... EmptyJeu 18 Nov - 0:09

C'est fait, un peu partout en réalité. Les passages alignés sur la droite, c'est ça. =)
Revenir en haut Aller en bas
Gabriel R. Shephard


Gabriel R. Shephard

Messages : 84
Age : 32
Date d'inscription : 03/08/2010
Célébrité en avatar : Ryan Gosling
Crédits : Ness (avatar) ; Fanpop (icon) ; Linkin Park (lyrics)
Humeur : Cataclysmique
Pouvoir :
    Absorption et maîtrise de l'électricité. C'est assez large, et plutôt incertain. Je peux tout aussi bien supprimer l'énergie électrique dans un rayon d'action comme je peux renvoyer cette énergie sous forme de rayon destructeur.


Occupation :
    Pour faire simple, je suis officiellement logisticien humanitaire pour le compte d'une ONG. Très noble n'est-ce pas ? Plus officieusement, j'opère avec les Insurgés mais ma cause est juste, personne ne m'en voudra.



Infos supplémentaires
Âge du personnage: 29 ans
Relations:

Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... _
MessageSujet: Re: Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses...   Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... EmptyJeu 18 Nov - 9:52

    Très bien alors, tu es validé Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... 245494 Je te souhaite bien du plaisir Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... 897781
Revenir en haut Aller en bas
Jeremy G. Callaghan

    « THE INSURGENTS We won't let you do

Jeremy G. Callaghan

Messages : 36
Date d'inscription : 16/11/2010
Célébrité en avatar : Ian Somerhalder
Humeur : On ne réveille pas l'eau qui dort ( pas ).
Pouvoir : Pyrokinésie ou le contrôle des flammes. Influencées par l'humeur qu'elles influencent, elles peuvent devenir cataclysmiques ou s'étouffer comme si de rien était. Se brule bien entendu. Et ne créé pas le feu.
Occupation : Etudie la psychologie avec brio. Fout la merde avec encore plus de succès. Nargue les flics aussi, entre autre.

Infos supplémentaires
Âge du personnage: 24 ans
Relations:

Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... _
MessageSujet: Re: Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses...   Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... EmptyJeu 18 Nov - 23:25

Merci =D
Revenir en haut Aller en bas
Natalia M. Northman

    « NORMAL HUMANS Ѡ We follow our faith

Natalia M. Northman

Messages : 16
Age : 41
Date d'inscription : 14/11/2010
Célébrité en avatar : Marion Cotillard
Crédits : NYN, WILDBITTERNESS
Humeur : Maussade
Pouvoir : Aucun
Occupation : Avocate

Infos supplémentaires
Âge du personnage: 28 ans
Relations:

Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... _
MessageSujet: Re: Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses...   Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... EmptyVen 19 Nov - 19:30

Bienvenue Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... 48749
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... _
MessageSujet: Re: Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses...   Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses... Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Jeremy Garett Callaghan | If you sow thorns, you'll reap roses, burned roses...

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
s y m p o s i u m ▪ RPG :: Where Everything Begins :: Présentations-
Sauter vers:  
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit